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Messages - Luun

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La Haute Conseillère Arandhanna avait consenti à accorder un entretien privé à Luun dans le bois d'eldar, là où les oreilles indiscrètes ne surprendraient pas leur conversation. Le dessin que Lisèle avait réalisé alors qu'elle perdait définitivement la mémoire montrait des auberges de Qeynos qui brûlaient, signe annonciateur d'une étrange épidémie de vers cérébraux parasitant la population, et tuant ses hôtes.
L'érudite ne cachait pas son étonnement, tant le fait que ce soit Luun qui mette le sujet sur la table était inattendu. Les Gardiens du Serment étaient les dépositaires de la copie du dessin, et il aurait du réveiller en eux des échos d'aventures passées. En tout état de cause, Arandhanna livra à Luun ce qu'elle savait, et lui conseilla de consulter les archives des Gardiens sur l'affaire Banok, ainsi que la Coryphée sur "Elle".

Le Feir'dal pourrait continuer l'enquête s'il le souhaitait, les érudits n'ayant pas l'envie de se détourner de leurs recherches actuelles. Etant donné le temps qu'il fallait chez eux pour prendre une simple décision, Luun se demandait s'ils faisaient vraiment quelque chose de leurs journées, mais bon... Néanmoins l'enquête serait dangereuse, et il mentionna qu'il espérait donc que la rétribution serait à la hauteur des risques encourus. Voilà pour la négociation, aux érudits qui se targuaient de savoir lire entre les lignes de comprendre que cela signifiait que ses services seraient chers. Très chers.

Quand Arandhanna lui signifia qu'il pouvait prendre congé, il savait que sa prochaine visite devait être pour Azurielle... Néanmoins, il prit le temps de faire un détour auparavant, afin de passer un moment avec Lidael, sa presque-soeur et confidente.

Quand Luun arriva devant la porte du Hall des Gardiens, ce fut pour découvrir qu'il ne serait pas le seul visiteur de la journée, car Lilaen souhaitait aussi rencontrer Azurielle. Luun laissa la jeune Ayr'dal exposer le motif de sa venue, à savoir en apprendre plus sur son passé, mais Luun se doutait qu'elle en viendrait tôt ou tard à la question des dessins qui permettaient d'invoquer une messagère. C'était normal, de ne pas vouloir vivre avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête. Luun eut été dans la position de Lilaen, il aurait agi de même. Il regarda donc la jeune Ayr'dal jouer à être Lisèle pour attendrir Azurielle, et la Koada'dal jouer les mères trop affectées pour se souvenir d'où elle avait rangé les dessins en se gardant bien d'intervenir. Azurielle réussit à confier à la jeune femme un document retraçant son passé disparu, et finalement Lilaen demanda l'autorisation de dormir dans sa chambre.

Luun descendit dans la cuisine discuter avec Azurielle et échanger les dernières nouvelles... et ils discutèrent jusqu'à une heure bien avancée de la nuit, avant qu'Azurielle ne s'enquière de la véritable raison de sa visite. Dix minutes plus tard, il était dehors, avec l'accord de la Coryphée pour consulter les archives des Gardiens sur l'affaire qui l'intéressait...

oOo

Le coursier qui vint apporter le message au petit matin trouva Lidael et Luun en train de prendre leur petit déjeuner dans l'herbe du jardin, profitant des premiers rayons du soleil. Une lettre de Lilaen, l'invitant à chasser une partie des disciples de Méléagan. L'un comme l'autre lui avaient promis la mort, et aucun des deux n'avaient agi, mais ce n'était pas une raison pour négliger tout cela. Il rejoignit donc l'Ayr'dal, pour ce qui fut une journée de combats. Fracas des armes, choc des armures, sueur et sang. Ce n'est qu'en fin de journée que, leur tâche accomplie, Lilaen proposa à Luun de lui montrer quelque chose.

Il la suivit sur les chemins escarpés de Lavastorm, et tous deux débouchèrent près d'une cuvette d'où le magma en fusion s'écoulait lentement. Dans un coin, un campement basique était monté. C'était ici que Lilaen campait quand elle ne rentrait pas à Neriak, ici qu'elle trouvait l'apaisement. Même si elle avait oublié son passé, même si elle ne montrait que sa face la plus dure et impitoyable au monde, la jeune femme restait une personne tourmentée. La seule chose qui semblait lui importer, c'était qu'on ne la confonde pas avec celle qu'elle était avant, la Lisèle qu'elle jugeait faible et sans intérêt, et elle voulait mettre à mort tous ceux qui la voyaient encore comme cela, surtout parce qu'elle haïssait ce qu'elle avait été.

Lorsqu'il revit Lilaen le lendemain, elle avait pris le temps de lire le journal d'Azurielle, et cherchait toujours à comprendre son passé, à savoir d'où lui venaient ces images qui lui remontaient comme des bulles dans sa mémoire de temps à autre. Elle avait même embauché un spécialiste pour l'aider dans sa tâche, un chronomage, pour retourner sur les lieux où elle savait être allée, mais dont elle n'avait plus aucun souvenir. C'est ainsi qu'ils firent tous deux route pour Klak'anon, à la recherche de son passé, d'un endroit ou Lilaen s'était déjà tenue, sans pour autant s'en souvenir. Ils trouvèrent ce lieu au fond de la cité des machines, et en profitèrent pour s'y reposer un moment. Encore une discussion sur la façon de percevoir le monde, sur des notions de moralité, sur la haine, la vengeance. Et sur beaucoup de choses, Lilaen et Luun étaient plus en accord que par le passé, car l'un comme l'autre laissaient s'exprimer ce qu'ils étaient réellement, ce que Luun avait voulu cacher sans y parvenir pendant ces longs mois à Qeynos... Quant à Lilaen, il se posait toujours la question de la réelle liberté de choix qu'elle avait eu, que ce soit à Qeynos avec Azurielle, ou à Neriak avec Gypsae. Mais au fond, cela la regardait, elle semblait être heureuse de la vie qu'elle menait maintenant, que demander de plus ?

Lorsque finalement, elle lui proposa de passer la nuit avec elle, elle l'obligea à se poser des questions qu'il évitait depuis trop longtemps de se poser. Il y avait long de raisons de refuser, et il s'aperçut que les raisons d'accepter étaient toutes mauvaises. Peut être que finalement une page s'était effectivement tournée, même si la douleur causée par ses sentiments lui pesait encore... Vivre au jour le jour, ne pas se poser trop de questions, et laisser les sentiments aux autres. Il avait longtemps vécu comme cela...
Chacun partit de son coté, et Luun rentra à Qeynos. Ses pas le portèrent chez Djianne, la Feir'dal avec laquelle il avait partagé quelques nuits. Nulle illusion, une relation sans lendemain composée de moments agréables... Que demander de plus ?


END

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Le siège d'Underland / Re : La rançon de la gloire !
« le: 17 novembre 2009, 12:39:41 »
C'est tout fixé, me reste plus qu'à trouver comment ils l'ont fait ^^

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Le siège d'Underland / Re : La rançon de la gloire !
« le: 16 novembre 2009, 22:36:47 »
Bon, ca revient peu à peu.... le chat déconne, je travaille dessus.

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L'antre des fous / Re : Dragon Age
« le: 15 novembre 2009, 22:28:12 »
Si tu joues à DA, je veux bien que tu fasses tourner les screens stp ;)

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L'antre des fous / Re : Champions Online
« le: 15 novembre 2009, 22:10:13 »
Tu fais bien vieux :)

En ce moment je revisite pas mal mes vieux jeux et c'est vrai que changer ca fait pas de mal ;)

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Le siège d'Underland / Re : La rançon de la gloire !
« le: 15 novembre 2009, 18:10:16 »
Grave !

Est ce que chais une tête de femme de ménache ?

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L'antre des fous / Re : 1er Jeu avec notre Cie de Reroll - 24/11
« le: 11 novembre 2009, 21:03:21 »
Héhé, c'est gentil, mais...

... ca tombe le soir de l'anniversaire de ma moitié pour le coup  ;D

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Le siège d'Underland / Re : Les aventures d'un woof
« le: 04 novembre 2009, 02:49:55 »
Alors... ce soir au menu, nous avons...

La sortie pour aller se faire un sandwich au Dragon:





Lilaen, je te les mets ici en grand format:

http://www.fantasy-chronicles.com/notes/luun/Darathar01.jpg
http://www.fantasy-chronicles.com/notes/luun/Darathar02.jpg

Puis un grand sondage sur le thème "je me cherche une armure, et je suis une fashion victim, celle la me boudine pas trop ?"



Une remarque acerbe sur EQ2, le jeu ou tout le monde m'aime tellement que même les NPC me préfèrent mort...



Ce qui fait que finalement, je suis retourné faire de l'aventure la où les liches, elles rigolent pas avec ce qui doit être mort, ce qui d'après elles signifie d'ailleurs tout ce qui croise leur chemin.



Et comme je vous l'avais promis, une petite photo de l'armure qui va bien..



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Luun s'éveilla avec les premières lueurs du jour. L'air était frais dans les instants précédant le lever du soleil et le feu qu'il avait fait sur la plage s'était éteint durant la nuit. Le Feir'dal remua la cendre et souffla sur les braises encore chaudes, alimentant le foyer en petit bois pour obtenir une flambée.

La Feir'dal avait disparu avant qu'il ne s'éveille, ne laissant pour seule trace que celles de leurs corps dans le sable. Luun sourit. Il l'avait rencontrée l'avant veille quand il s'était réveillé dans ce manoir des plaines arides. L'endroit faisait froid dans le dos, la famille qui y vivait avait été massacrée par les vampires qui avaient pris possession des lieux. Et il semblait que le menu du jour était composé de deux Feir'dals, merci pour eux.

Sa compagne semblait avoir un lien particulier avec les esprits, et la tuerie perpétrée dans cette maison l'avait visiblement touchée. Sa fureur atteignit son paroxysme quand elle découvrit les fantômes des enfants dans leur chambre. Le hasard avait bien fait les choses, car une mystique était bien plus à même que lui d'exorciser la demeure. Elle finit par sortir ses herbes et leur fit fumer un mélange destiné à étendre leurs perceptions. Luun avait vécu la fin des combats dans une sorte de brouillard, son esprit semblant emmagasiner les odeurs, les couleurs et les sons avec une précision qu'il n'avait jamais connue auparavant. Il se sentait juste bien, et complètement desinhibé. C'est peut être ce qui l'avait conduit à l'embrasser quand ils s'étaient rapprochés. Elle en avait ri, et avait dit avoir trouvé cela agréable. Luun l'avait invitée à diner et elle avait passé la nuit chez lui. Il lui avait même laissé sa chambre, bien qu'il fut clair pour lui qu'elle l'attirait.

Le matin l'avait trouvée dans la cuisine, et ils avaient décidé de passer la journée ensemble. Il l'avait à nouveau embrassé, ce qui était la façon la plus directe de lui dire que les herbes n'expliquaient pas tout, et surtout parce qu'elle lui plaisait. Et cela semblait réciproque, du moins n'avait-elle pas marqué son désaccord. Les choses s'étaient ensuite enchainées naturellement d'elles-mêmes, jusqu'à cette nuit sur la plage d'Antonica. Luun ne cherchait de toute manière pas de relation plus poussée, vivre au jour le jour lui convenait, et la dessus, ils semblaient tous deux en accord.

Luun déposa une bouilloire sur les flammes et se glissa dans les eaux de l'océan pour se débarrasser du sable qui lui collait à la peau. L'eau était plus chaude que l'air ambiant et c'était un délice de se baigner à cette heure. Le sel marin provoquait un léger picotement là où la Feir'dal l'avait griffé durant leurs ébats sur la plage. La nuit avait été plus que torride et le choix du lieu avait donné un piquant tout particulier à l'expérience.

La bouilloire siffla. A regret, le Feir'dal sortit de l'eau et récupéra ses vêtements épars sur la plage. Il but le thé encore brûlant avant de recouvrir le foyer sous le sable pour éteindre son feu.

Luun jeta un dernier regard à l'étendue d'eau qui miroitait sous les premiers rayons du soleil levant. Glissant la main dans sa poche, il sentit le contour de la feuille pétrifiée que Gypsae lui avait offert peu de temps auparavant. Trouver un coin tranquille où lire et réfléchir... oui ça pouvait être une idée. Il prit donc le chemin de Qeynos, la tour des mages pourrait peut être lui apporter des réponses. Des réponses pour lesquelles il n'avait pas encore de question bien précise, d'ailleurs...

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Il l'avait rencontrée au pied de l'un des grands arbres qui abritaient Kelethin.

Bien sur, il la connaissait de réputation, même s'ils ne s'étaient encore jamais croisés. La rumeur, cette bête timide, avait apporté son nom à ses oreilles. Les feuilles de la forêt avaient brui son histoire. Malgré son jeune âge, la communauté Feir'Dal lui prédisait un avenir brillant.
Elle aussi avait répondu à l'appel du Faydwer. Elle aussi avait dans le sang la soif de connaitre ses ancêtres. Elle aussi avait ressenti le besoin de retrouver ses racines.

Espiègle et rieuse, elle était de ces personnes avec lesquelles vous vous sentiez immédiatement à l'aise. Elle avait emmené Luun, de plate forme en plate forme, jusqu'à ce gnome, Globul, et lui avait offert ce parachute. Ils avaient exploré le Faydwer ensemble, curieux de toutes ses richesses, heureux de redécouvrir la demeure ancestrale de leur peuple, riant aux éclats quand ils se laissaient glisser le long des branches des majestueux arbres plusieurs fois millénaires, et discutant sous les étoiles à la nuit tombée.

Les liens qui les unissaient s'étaient nourris de cette complicité simple, et si on les voyait souvent l'un et l'autre la main dans la main, eux se considéraient comme frère et soeur.

C'est ainsi que Luun fit la connaissance de Lidael. Il l'avait rencontrée au pied de l'un des grands arbres qui abritaient Kelethin, et il se murmure qu'à cet instant, un ange avait posé son regard sur eux...

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Le coursier avait déposé le message au dispensaire. Une lettre tout simple, mais qui tranchait singulièrement avec ce à quoi Luun aurait pu s'attendre de la part de celle qui l'avait rédigé.

"Je suis aux docks d'Antonica. J'aimerai te parler si tu as une minute. Lilaen"

Il n'en fallait pas plus pour éveiller la curiosité du Feir'dal tant cela tranchait avec les mots durs de la jeune Ayr'dal l'avant veille. Elle l'attendait sur les docks, semblant surprise qu'il vienne au rendez-vous fixé. Il se borna à lui répondre que quelques mots judicieusement choisis avaient plus d'effets qu'un tas de cadavres encore fumants. Lilaen lui proposa d'aller discuter dans un endroit plus calme et il opta pour les Terres Communes, un lieu qu'il avait apprécié à une période aujourd'hui révolue. Un choix non dénué de sens, encore faudrait-il que son interlocutrice sache le déchiffrer.

Lilaen avait des questions sur les moyens de contacter les messagères. Si la réponse à cette interrogation était courte, la suite de la discussion s'engagea par contre sur certains aspects du passé, sur ce qui avait été oublié d'une part, et sur les chapitres d'une histoire à clore de l'autre. Lilaen avait des intérêts parfois déconcertants sur certains détails de son passé, occultant par ailleurs complètement d'autres aspects. La question de leur cohabitation suivit rapidement et elle s'annonçait épineuse, Lilaen ne cachant pas sa volonté d'éliminer le Feir'dal pour ce qu'il avait représenté dans un passé qu'elle avait oublié et qu'elle passait encore beaucoup de temps à chercher et à .. fuir ?

Elle voulait de toute manière éliminer tout ce qui la rattachait à ce passé oublié, même si ses motivations restaient assez peu compréhensibles. Mais dans le cas présent, elle regrettait surtout que l'amitié qui liait Luun à Gypsae lui interdise de mettre son plan à exécution. Cela l'arrangerait qu'elle ait à répondre à une agression qui justifierait son acte, mais Luun avait pris parti de mettre en lumière les lacunes de son plan, comme si tout cela lui glissait dessus. Il était curieux et il voulait savoir où il pouvait placer la limite, jouant la provocation sous son apparente nonchalance. Lilaen lui dit qu'il était trop sur de lui. Il reconnut une partie des forces de son interlocutrice afin d'adoucir ses propos sur ses faiblesses et lui conseilla de mener ses batailles sur ses points forts plutôt que sur ceux de ses adversaires.

Pour Luun, cette discussion était à la fois douce et amère. Il ne remettait pas en cause la liberté de choix de Lilaen, ni la voie qu'elle suivait. Il ne faisait pas plus d'amalgame avec celle qu'elle avait été et celle qu'elle était, celle qui avait à jamais disparu, et celle qui vivait. Mais... les choses étaient moins simples qu'il voulait bien le montrer, parce que lui n'avait pas oublié, même si ses proches l'avaient convaincu de tourner la page.

Quand il lui proposa de la déposer à Antonica, et qu'il se concentra pour ouvrir le portail druidique, Lilaen bondit, le poussa au sol et lui déposa sa lame sur la gorge. Elle voulait que les choses soient claires: il vivait parce qu'elle seule l'avait décidé, pas Gypsae. Mais quand il lui dit d'aller au bout de son acte, elle refusa et rengaina sa lame. Ils discutèrent encore un moment. Elle lui proposa d'aller visiter la demeure des messagères avec elle, et il accepta, surtout pour assouvir sa curiosité. Lilaen prit finalement congé, lui souhaitant même un bon retour.

C'était une soirée intéressante, une de celles où les mots avaient un sens, mais où les actes en révélaient plus long que les paroles. Luun rentra à Qeynos. Non, il n'avait pas de souci à se faire, pas dans l'immédiat.

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Le siège d'Underland / Re : Les aventures d'un woof
« le: 20 octobre 2009, 09:25:51 »
Ma version d'Oblivion est méchamment moddée: corps des persos, coupes de cheveux, vêtements, armures...

Les armures d'origine donnent ce qui suit, mais je vous montrerai des trucs sympa un peu moddés


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Le siège d'Underland / Re : Les aventures d'un woof
« le: 20 octobre 2009, 02:43:16 »
Je sais, c'est mal...






Ce que j'ai fait est vraiment très mal....






Oui, j'ai craqué, j'avoue. Elle était la, elle me tentait, j'y avais pas touché depuis un an mais une fois le pas franchi, les premiers instants passés pour retrouver ses marques, rien n'avait changé, et franchement, ca reste que du bonheur.
Pourtant je sais qu'un jeu Bethesda, c'est le mal, et que juste regarder la boite, c'est déjà avoir capitulé.





Demain si vous êtes sages, je vous met les screen avec l'armure au lieu de la robe de soirée.


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Le siège d'Underland / Re : Luun enfin dévoilé !!
« le: 16 octobre 2009, 09:38:31 »
Moi je vois pas encore double, hein... Quand t'es partie hier j'étais tout seul avec toi, Lilaen.

(18:53:18) Lilaen: ++ vous deux

(18:56:26) Luun: merde, elle voit double

(18:56:46) Luun: les ravages du pamplemousse Teir'dal

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Le siège d'Underland / Re : Les aventures d'un woof
« le: 15 octobre 2009, 02:10:01 »
Y a des soirs, il arrive des trucs dingues... je veux dire vraiment dingues.

Voyez plutôt:


Du coup, de dépit, j'ai tenté le saut en parachute sans parachute.
Le pire étant que la mort, encore une fois, n'a pas voulu de moi.


Sur ces bonnes paroles, en direct depuis le frigo de Gypsae, Luun vous souhaite une douce nuit !


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